Les grands constats du hot-dog

mardi 27 septembre 2011

 Fanny-Garance Carrier

Aujourd’hui, je ne parle pas de trucs, de grandeur gastronomique, ni de choix santé, non! Question de rendre à hommage à l’été et aux cantines qui fermeront sous peu, parlons hot-dog!

J’ai fait trois grands constats existentiels le week-end dernier :

Premier constat: Pourquoi lorsque l’on commande un hot-dog tout garni, ils ne mettent pas également le ketchup. Le hot-dog : un mal-aimé mal garni.

Deuxième constat: Avez-vous remarquez que c’est le seul plat ou presque (je n’ai pas trouvé les autres) qui, lorsqu’on en demande la version santé, eh bien, c’est moins cher! Avouez, si on va au restaurant et que l’on demande de remplacer la frite par une salade, la viande brune par la blanche, la serveuse se voit dans l’obligation d’ajouter un extra. Mais là, victoire avec le hot-dog!: pour 10 sous de moins, on peut avoir le pain cuit à la vapeur, plutôt que grillé sur une cuillère de gras. Bravo!

Dernier constat : Les hot-dogs ne sont pas bilingues. Ici, au Québec, on peut se vanter de franciser avec perfection les mots inventés par nos voisins du sud. Un talent que même les Français de France envient. Personnellement, le mot « pourriel » me rend fière! Toutefois, « chien-chaud » c’est répugnant! Je sais, je sais, il s’agit d’une expression qui date. Mais...Vraiment? Quelqu’un a eu cette idée?!

Jamais, non, jamais, vous ne m’entendrez dire : « un chien-chaud tout garni svp !». De toute façon, il ne viendrait pas avec du ketchup…

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